L'exploration de la mine avance. Je vous ai dit que je vous parlerez de Sammy Walker, je le ferai.
Mais, commençons par un garçon dont j'avais écrit le nom sur un petit papier, il y a presque 20 ans, pour ne pas l'oublier quand j'allais dans des endroits où on vendait plus de disques que dans le boutiquou local. Ainsi, à chaque découverte d'une fnac, d'un Virgin, je cherchais, au "S", d'un éventuel rayon folk si un "Mark Spoelstra" s'y trouvait : Nada, queud, "hein, qui, hein ?".
Avec l'arrivée d'Internet, pas plus de Spoelstra Mark dans les catalogues entre Spears Britney et Springsteen Bruce.
L'an dernier (ou il y a deux ans), j'en avais parlé dans le violon, Il y avait eu quelques rééditions qui m'avaient plues mais pas autant que je l'aurais aimé.
Puis il est mort, le couillon.
Sa discographie tardive, de folk plutôt chrétien crétin est peu attractive.
Mais, avec l'ouverture de la vanne Folkways (cf billet précédent), se dévoile une merveille de Folk, de 1963. Spoelstra chante dans le club 47, accompagné de sa seule 12 cordes.
Et voilà un sacré classique du folk 60's qui nous revient, avec des fulgurances magnifiques (Born to die..). Pour tout amateur du folk revival des 60's, cet album ci est à placer à côté de vos Dylan, Ochs, Andersen, Neil...
Même si Mark Spoelstra n'est pas Marc Toesca, c'est pourtant le top..
Régalez-vous... (cliquez sur la pochette pour lancer deezer dessus)
samedi 24 octobre 2009
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